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Somewhere to call "home" || ft. Lizzie Prieur
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Dim 26 Aoû 2018 - 12:39

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No place like home..?

Ft. Lizzie Prieur


1. Les ténèbres, le silence.
2. La luminosité accablante, tout autour.
3. La porte qui s'ouvre sur une silhouette inconnue.
4. La voix qui s'adresse à elle, la noie d'informations qu'elle ne comprend pas.

Étape après étape, Anthéa déambule dans la confusion. Sur le coup, c'est simple, rien ne lui vient. Pas de joie, pas de tristesse, pas de panique. Tout est trop flou. Le fil rouge, les âmes-sœurs, rien de tout ça n'intègre vraiment son cerveau. Après tout, pourquoi y prêter attention, c'est un rêve n'est-ce pas ? Tout lui indique le contraire : la brise de vent glissant sur ses joues, le soleil chauffant le dessus de son crâne, mais pourquoi y croirait-elle ?

Ses pas suivent ceux de son guide, l'emmenant jusqu'au logement dont il n'a de cesse de parler. Il ne fait que ça, parler. Les mots résonnent dans ses oreilles, mais s'écrasent trop les uns contre les autres, la laissant étourdie. Un goût amer brûle sa langue, glissant contre ses papilles et lui donne l'impression qu'elle va vomir. Mais rien ne remonte. Et les idées se battent, faisant parfois quelque peu chanceler ses jambes. La personne l'accompagnant ne semble pas se soucier du fait qu'elle soit en pyjama, pour le peu que sa tenue puisse être décrite ainsi : un débardeur légèrement trop échancré pour qu'elle ne croise pas les bras sur sa poitrine pour la couvrir, et une sorte de short de nuit dévoilant ses cuisses plus qu'elle ne l'aurait souhaité dans une telle situation. Et si son "guide" ne l'emmenait pas là où il disait le faire ? Pas d'autre choix que de le suivre, cela dit. En avalant difficilement sa salive, la gorge serrée, la blonde baisse la tête et prie les dieux, tous autant qu'ils sont, de bien vouloir la sortir de ce très mauvais rêve.

Je veux rentrer à la maison, manger le tiramisu de maman... Je veux serrer Léo dans mes bras et lui raconter mon cauchemar !, se répète t-elle dans l'espoir que le faire la délivre. Mais rien, si ce n'est un nouveau coup de vent la giflant et la poussant à comprendre que tout ceci est "réel". Trop réel.

Ses jambes chancellent à nouveau, brutalement, et son corps perd bientôt l'équilibre. En tombant, ses genoux se heurtent violemment au sol, le silence des chaussons frottant maladroitement le trottoir bétonné faisant se retourner le guide. Celui-ci vient l'aider à se relever, mais la française refuse qu'il la touche : Elle se débat, jette les bras au hasard dans le vide, incapable de contrôler les spasmes de ses membres et les larmes qui débordent de ses yeux pour rouler en longs sillons salés dévalant ses pommettes. A nouveau, sa gorge se contracte, mais cette fois-ci ce n'est pas dans le vide. Le déjeuner, peut-être même le petit-déjeuner, se fraie un chemin avant de s'extirper à ses entrailles, s'écrasant en-dehors et brûlant au passage son palais. Malgré ce semblant de soulagement, les secousses de son corps ne s'arrêtent pas, gagnant même en ampleur.

Pourquoi est-ce que je suis là ?! Je veux rentrer à la maison, je veux rentrer à la maison ! Pitié, faîtes que ça s'arrête...!, s'acharne t-elle à se dire. La tête lui tourne, dans la violence à laquelle ses mains s'accrochent à ses bras. Un semblant d'étreinte, alors qu'elle tente désespérément de se souvenir de la chaleur du contact rassurant de son frère aîné. Mais c'est peine perdue. Il n'est pas là, Léo. Ils m'ont emmenée, sans lui. Sa vision se met lentement à tourner, danser, les lumières de l'extérieur vacillent au creux de ses perles à la couleur du jade. Les voix des autres piétons frappent contre ses tympans, ses lèvres tressautant nerveusement au moindre mot. Et bientôt c'est à nouveau le noir. Ses yeux roulent, elle le sent, aperçoit une poignée de secondes ce ciel bleu qui défile, à toute vitesse, comme le paysage dans une voiture. Et c'est la fin, ne distinguant plus que les striures de ses veines au travers du voile de ses paupières. Autant s'évanouir, ne rien voir arriver. Autant ne pas souffrir.

- - -

Au réveil, la première sensation est celle d'un étrange confort. En se redressant lentement, la tête vrombissant encore au moindre de ses mouvements, elle peine à garder les yeux ouverts. Les maintenant plissés de ce fait pour ne pas s'ajouter une douleur inutile, elle cherche un repaire dans le brouillard de sa vision. Autour d'elle : des meubles, une décoration soignée. Rien de plus que ce que l'on verrait dans une page d'exposition de produits pour un magasin d’ameublement. Ses pieds quittent le tissu sur lequel elle est posée pendant que ses mains, pour leur part, le frôlent. S'asseyant, elle constate l'étendue des dégâts de toute cette panique. Le guide est parti, n'ayant laissé derrière lui qu'une note sur la table basse face à elle. Le papier, blanc, attire son regard et une main hésitante vient s'en saisir. Un résumé de la situation. Juste une liste d'éléments dont elle devra très probablement se souvenir pour son propre bien-être. Le dernier point arrondit ses yeux, laissant ses lèvres entre-ouvertes par la surprise : Rencontrer votre âme-sœur.

Encore ces deux petits mots sans queue ni tête.

Sa tête tourne, girouette, d'un côté à l'autre, balayant la pièce à la recherche d'une autre présence. Mais il n'y a que le silence, presque tranquillisant, à peine troublé par la vie à l'extérieur de la maison, filtrant au travers d'une fenêtre légèrement ouverte. En se levant, ses pas sont encore malhabiles mais la guide à travers chaque pièce, une à une. Une très belle maison, en soi, même s'il ne s'agit pas selon sa propre pensée de la "sienne". En atteignant la salle de bain, son regard se dépose sur la paire de brosses à dents dans un gobelet sur le bord du lavabo surplombé d'une glace impeccable. Tout est... trop parfait. Sans demander son reste, encore souffrante du désastre trop récent, elle s'arme d'une brosse et entreprend de se débarrasser du goût de bile lui polluant la bouche.

Petit pas après petit pas, elle recommence à visiter la demeure. Le frottement des cheveux de la brosse contre ses dents occupe le vide, et elle se détend progressivement malgré de ne pas vouloir baisser totalement sa garde. Avec un peu de chance, peut-être n'a t-elle tout simplement pas d'âme-sœur ? Peut-être pourra t-elle se contenter de rester ici jusqu'à ce que Léo vienne la chercher ? L'idée de tenter de lui téléphoner germe dans son esprit, mais elle appuie immédiatement le fait qu'il est très peu probable que cela soit possible. Après tout, pourquoi ses kidnappeurs laisseraient-ils autant de liberté à leurs victimes ? En sortant la brosse à dents de sa bouche, ses grands yeux verts se jettent sur les résidus de dentifrice prit entre les fils. Et s'il y avait quelque chose là-dedans..?
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Lun 27 Aoû 2018 - 20:49
Après une journée et une nuit passée chez une amie , et de nombreuses denrées alimentaires englouties à une allure déraisonnable, Lizzie se rendait à l'évidence. La multitude de cadavres plastiques et aluminiums l'entourant ne contenait pas un seul tragédien se faisant passer pour mort.

Il restait bien, çà et là, quelques miettes de bonne taille. Des pépites. Mais rien de suffisant pour se boucher ne serait-ce qu'une dent creuse, alors un ventre creux…

Tant pis, Elle avait faim, mais il était temps de rentrer chez elle à présent et pendant tout le trajet, elle se demande qui serait son âme soeur et elle espérait qu’elle serait sympas et mignonne au moins.

Le trajet était sans intérêt et elle arriva chez elle un peux plus tôt que prévu. elle ouvrit la porte avec ses clés et entra avant de verrouiller à nouveaux la porte et elel partir jusqu'à la chambre pour prendre un paquet de chips quand elle vit une femme qu'elle n’avait jamais vue. Cela ne pouvait être que son âme soeur! elle s'approcha vers elle.

“Hey, Je suis Lizzie Prieur, ravie de te rencontrer!”




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Lun 27 Aoû 2018 - 23:34

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No place like home..?

Ft. Lizzie Prieur


Les yeux épiant sa brosse à dents comme s'il s'agissait d'un ninja prêt à la trahir à la moindre occasion, Anthéa se questionne. Trop de questions, trop peu de réponses. Bien que cela paraisse totalement idiot, son cerveau se borne à imaginer les pires scénarios.  Un somnifère ou de la drogue dans le dentifrice, de l'eau toxique, des communications enregistrées et/ou surveillées... La liste est longue, et ne fait que gagner de nouveaux éléments de seconde en seconde. Où est-elle de toutes façons ? La tige de l'objet entre les doigts, son regard se perd bientôt dans le vide comme si son âme s'était enfuie de son corps. Rien ne lui revient.

Un bruit sec la fait sortir de sa stupeur, son corps prit d'un sursaut alors qu'elle entend le tintement de clés s'engageant dans la serrure d'une porte quelque part. Très probablement la porte d'entrée, même si sur le moment l'idée d'avoir une porte arrière lui semble être possible également. Ses bras se balancent, chassent l'air, et elle finit par plaquer l'une de ses mains au-devant de ses lèvres, autant pour se taire que retenir sa respiration. Elle ne sait pas où se cacher, et ses jambes flageolent trop pour la porter où que ce soit de toutes manières. Je fais quoi ?! Une part d'elle continue à se bercer de l'illusion qu'il peut potentiellement s'agir de son frère, mais la silhouette qui se glisse finalement dans la maison lui retire tout espoir sur ce fait. Une femme. De longs cheveux blonds cascadant sur ses épaules, et de fins yeux à la couleur de la terre. Ce visage, aux traits gracieusement dessinés, la leurre sur l'âge de l'inconnue qui se présente en s'avançant vers elle.

« Hey, Je suis Lizzie Prieur, ravie de te rencontrer! »

Perplexe. Les paupières de la française clignent à répétition, comme si elle cherchait là à se défaire d'une illusion. Dans cette nouvelle confusion, elle en oublie même avoir la bouche pleine de dentifrice, et l'arme du crime encore à la main. Doit-elle répondre ? Ignorer ? Faire comme si elle n'avait rien entendu ? Ce serait impoli de ne pas se présenter à son tour. Mais est-ce une bonne idée de divulguer son identité  à une parfaite inconnue ? Certainement par désespoir, souhaitant de tout cœur trouver quelqu'un à qui se raccrocher en ces terres "hostiles", une part d'Anthéa voit en cette autre femme une alliée de taille. Mais même là, un nouveau problème se pose : le meurtre du dentifrice. Levant une main pour indiquer très vaguement à la nouvelle venue de bien vouloir l'attendre, elle trottine jusqu'à la salle de bain pour recracher la mixture mentholée et se rincer la bouche à la va-vite. La brosse à dents abandonnée dans son gobelet sur le lavabo, elle reprend de trottiner, cette fois-ci pour revenir près de la fameuse "Lizzie",

« J-je... A-Anthéa. Je... Je m'appelle Anthéa. »

Le son de sa propre voix, qu'il lui semble ne pas avoir entendu depuis un certain temps, résonne désagréablement dans ses oreilles. Elle n'aime décidément pas parler. Pourtant, il y a tant de choses qu'elle aimerait demander, et le silence ne cherchera pas les informations pour elle.  Le pseudo détail des âmes-sœurs totalement hors de son esprit, ses bras se referment contre sa poitrine dans un semblant de position défensive, préservatrice, alors qu'elle reprend d'une voix riquiqui, aux notes sautillant d'hésitation.

« C-c'est chez toi ici ? U-un guide m'a déposée ici. », bégaie t-elle avec le courage d'une spaghettis jetée dans une casserole.
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Ven 12 Oct 2018 - 14:33
Il faut croire que soit l’introduction de Lizzie avait eu l’effet d’un jumpscare sur cette pauvre jeune femme. Lizzie ne pouvait s'empêcher de se sentir coupable à cause de ça et la regarda avec un air coupable pour tenter de se faire pardonner.

C’est alors qu'elle remarqua que la jeune femme qui portait le nom d’Anthea était tout simplement magnifique. Elle avait déjà ressenti de l’attirance vers une femme, mais la c'était bien plus intense. Liz se sentit rougir rien qu’en la regardant.

“Euh.. Oui J’habite ici, enfin. Je veux dire par là qu'on m'a donnée cette maison lorsque l’on m'a kidnappé pour que je rencontre mon âme soeur et donc vus que que l’on habite ensemble. Je suis ton âme soeur.”

Lizzie se permit de la prendre dans les bras pour tenter de la réconforter.

“ Je sais que ça fait un choc, Je suis la si tu as besoin d’un coup de main! “
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