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au Sindety Night Fever avec Night
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Mar 7 Aoû 2018 - 0:12


Nous étions très tôt en soirée, peu être, quoi ? 19H ? Je viens à peine de finir mon repas lorsque je me suis décidée enfin de finir ma salade de fruit. Je regarde mon cosplay de Lux, il trône sur son cintre de bois majestueusement. Je souffle de joie. Depuis ma venue en Syndety je n’ai pas encore eu l’occasion de devenir le bras armé de Demacia.

« Mince, et si personne ne connaît ? j’aurai pas l’air conne… humm… bwaaa qu’elle importance ? Personne ne me connais de toute façon ! » Me dis je d’un air mal assuré. Ses gens là venant de la terre, peu être que l’un d’entre eux à entendu parler d’Irina Rogdanov… Espérons que non. Je souffle pour me redonner courage afin de ne pas fermer la lumière et passé la soirée à regarder la télé… Non, il etait temps pour Lux de sortir de l’ombre !

Direction la salle de bain, je fais un pas en arrière, j’aurai un petit travail à faire je ne me pensais pas aussi fatiguée, la canicule faisait du bien mauvais travail ! d’accord le teint halle et tout c’est mignon, mais les cernes… Je me dis que je devrais ne pas sortir l’espace d’une seconde mais l’envie était trop forte ! Du coup, me saisissant de mon eye liner, je marquais le bas de mes yeux d’un trait noir pour que Lux ai un regard plus intense. En parlant des yeux de Lux. Je retourne dans le salon afin de prendre la petite boite de lentille de contact. Je me demande si il y a un lunetier dans le coin. Comment me procurer les yeux de mon héroïne sinon ? Retournant dans la salle de bain, de ma main droite j’ouvre en grand les paupières de mon œil gauche me demandant pourquoi j’ai mis l’eye-liner maintenant c’était complètement idiot. Soupirant de dépit, je place la première lentille sans trop de difficulté. La seconde me posa un peu plus de soucis mais rien de trop méchant, l’affaire de dix minutes. Clignant des yeux, je resta là, bouche-bée admirant l’intensité de mes yeux bleue. Un peu de blush sur les joues pour apporter un peu de féminité et surtout chassé les traces de sueur de mon visage. J’ai beau me laver enfin, voila quoi. Un peu sur le front aussi, le menton. Il ne me reste plus qu’a mettre le rouge à lèvre couleur framboise, mon préféré ! Mordant sans les dents dans une feuille de papier toilette pour retirer l’excédant, j’admire le travail dans la glace. Pour peu, je me draguerai moi même ! J’espère pourquoi pas trouver l’amour cette nuit, une jolie femme ou au pire un homme, je n’étais pas difficile.

Me voici toujours dans la glace, l’une des parties les plus délicate, la chevelure. Premièrement, un coup de démêlant et défrisant, ma reine à les cheveux raide presque un carré plongeant, par chance, j’ai été au coiffeur avant de rejoindre cette ville, donc, inutile de m’inquiéter pour la longueur. Le temps que le produit fasse effet, je retourne dans mes bagages spéciale Lux pour chercher le diadème, c’était une pièce indispensable ! c’est un peu comme Batman dans sa cape. Ridicule donc. Par chance, je la trouve facilement et prend plaisir a me masser le cuir chevelue en me brossant la tignasse. Se produit de Jean Louis David faisait des miracles ! Un coup de spray, dix minutes de pause, un coup de brosse et hop. Le diadème sur mon front. Impécable ! Encore un peu et j’aurai envie de courir dans mon lit pour me… enfin passons…

Maintenant, le plus facile, mon long tshirt blanc a manche longue, mon long corsaire également blanc, j’avais l’air d’une folle alliénée je me mis a rire. Je passe alors au jambières que je connecte a la ceinture, les chaussures trafiqué en botte. Le plastron, les biceps relier au buste de mon cosplay, enfin les avant bras que je relies au biceps et au triceps et pour finir les gants. Je suis si fière de moi, me voici enfin en Lux Elementaliste. Fixant l’horloge j’hallucine, 21h  sonnait presque ! Me dépéchant, je prend mon sac à main, mon trousseau de clé Draven et je fonce dans la nuit .

« E…. et merde…. qu’elle gourde ! Bon quand tu as pas de tête, tu as des jambes hein ? » je souffle de dépit et remonte dans mon logement à la va vite me maudissant, que serais Lux sans son arme ? j’avais oublié mon bâton de combat, élément indispensable à mon cosplay. Peu etre que j’aurai l’air conne au yeux de beaucoup mais je m’en fiche j’avais envie de sortir en temps que Lux, sa me manque tellement ! Je fais alors un rapide inventaire de se qui me manquais, à prioris rien mais une envie urgente me pris soudainement. Dix minutes de perdu, finalement, je suis heureuse d’être remontée pour rien. Etre cosplayé en Lux c’etait gratifiant mais tellement chiant quand vous vouliez aller faire pipi.

Certaine de moi maintenant, je verouille mon appartement sous la protection de Draven et pris le chemin qu’indiquait le document pris hier au magasin, il y avait se soir, une soirée en boite de nuit avec une consommation offert et les suivantes à moitié prix pour les gens déguisés. Je déteste quand les gens disent « déguisement » à propos des cosplay mais bon… Je peu le comprendre facilement, je n’en veux à personne. Le principale était que je sort un peu Lux et qu’avec de la chance, j’en ressort avec une femme sous le bras voir un homme. La solitude me pesait mais bon se n’étais pas une raison pour « pécho » la première venue ou le premier mec qui m’offre une boisson, je ne suis pas se genre de nana. Disons que mon coeur à soif de tendresse. C’est donc avec la poitrine plein d’éspoir que je me dirige au Sindety night fever. Qu’elle nom ridicule… bonjour l’originalité… enfin passons. J’y croise beaucoup de déguisement et un peu de cosplayer, je me sens moins seule. Je souffle de soulagement.

Je me dirige seule sur une banquette loin des néons bleue qui font mal au yeux, et puis surtout, qui empèche de bien voir les personnes qui vous entours. Je commence a avoir envie de danser mais pour le moment, je n’avais qu’une envie, me désinhiber un peu à l’aide d’une bonne mousse. Ca tombe bien, j’ai une consommation offerte. Je me lève et je vais passé commande souriant au gens que je croise et retourne à ma place, la soirée commençait mal. Pour vu que la mousse me fasse un peu oublier ma solitude.
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Lun 13 Aoû 2018 - 18:53
Insanity next to you...Kaylee King & Milya LugerQue la chispa de tu mirada, es un farito pa' mi vajel (Mírame → La Troba Kung-Fú)Je posai violemment ce crétin de portable qui ne m'appartenait pas sur l'espace vide du banc à côté de moi, mon geste tranchant complètement avec l'inexpression totale de mon visage. Ce détail fit plisser les yeux d'un passant qui avait intérêt à ne pas faire de commentaires mais il ne releva l'incident pas plus que moi. Il aurait déjà fallu qu'il sût que je le voyais, quand bien même il était en périphérie de ma vision. Enfin, détail clos. Je poussai un soupir inexpressif avant de décrocher mon cul de ce banc et de me mettre à marcher, après avoir rangé le portable dans un sac en bandoulière patchworked au septième degré que j'avais acheté ces derniers jours. Et que j'avais personnalisé moi-même, cela allait de soi. Bras gauche pendant le long de mon corps, bras droit plié dans mon dos, poignet gauche dans mes doigts droits, je me mis à errer dans le parc puis dans les avenues et autres ruelles plus ou moins larges et fréquentées. Je me fichais de ma destination, de ce qu'il y avait autour de moi, seule ma promenade m'importait. Et tout l'intérêt de cette promenade était de laisser mes pensées parasites circuler dans ma tête sans m'y attarder. À l'écoute de mon corps, je ne prêtai cependant pas attention à mes jambes qui avaient envie de prendre congé. Je continuai de ressasser ces pensées inutiles, ayant vite compris qu'il valait mieux me laisser des moments ainsi plutôt que de commencer à sortir des réflexions sans aucun sens et me mettre à être sociable. Je l'avais compris depuis la fin de ma primaire, ce n'était pas maintenant que j'allais en changer. 'manquerait plus que je tire une croix sur ma solitude, fuh. La blague. Mes pieds commençaient à crier grâce mais je ne m'arrêtais pas pour autant. Il fallait que je marchasse, que je respectasse ces promenades rituels ; je ne les faisais plus en moto, c'était à croire qu'ils faisaient tout pour être soit-disant écolos dans les parages. La blague bis. Rien que les restaurants et autres technologies de divertissement étaient la preuve du contraire.

Lorsque ce fut mon estomac qui se mit à vouloir jouer à "qui se tordra le plus en position essorage ?", je me mis enfin à considérer l'option manger. Je me dirigeai donc vers des rues plus fréquentées et, par extension, mis mon casque sur mes oreilles et branchai ma propre musique. Certaines personnes semblaient vouloir me parler mais je les ignorais royalement. Il me fallait trouver un restaurant à mon goût, respectant le silence, vu que j'avais décidé de ne pas parler pour l'instant. Je finis par rentrer dans un restaurant italien, sortant un petit-bloc notes ainsi qu'un stylo pour l'occasion. Autant communiquer en bonne et due forme, quitte à ne pas élever la voix. La personne qui m'accueillit ne sembla pas du tout se formaliser de mon moyen de communication et ne fit aucun commentaire à ce sujet, que ce fût avec sa voix, ses gestes ou son visage. Je manquai de sourire pour approuver le coup mais restai aussi inexpressive qu'à l'accoutumée. Elle me dit de m'asseoir là où je le désirais et je choisis la table la plus isolée - et libre. J'enlevai mon casque, le laissai retomber autour de mon cou, et le peu de sons qui parvenait à mes oreilles faisait naître des couleurs très estompées dans ma vision. Le calme et le silence. Appréciable. Voilà où j'allais poser mes divines fesses pour manger. Je restai ainsi une bonne heure dans cet endroit, mangeant des ravioles, enchaînant par une salade et un bon panna cotta. La serveuse entretenait une conversation cordiale, chaleureuse aussi, sans insister quand je ne lui répondais pas ou restais de marbre. Encore un plus appréciable, nul doute que j'allais revenir ici selon l'heure de mes promenades et le lieu où je serais quand je commencerais à avoir fin.

Une fois rassasiée, hydratée, je quittai l'endroit non sans les avoir remercié au passage - à haute voix. La serveuse m'adressa alors un sourire en coin ainsi qu'un clin d'oeil, que je lui renvoyai. Cela la surprit, visiblement, et je soufflai brièvement une fois sortie. Un souffle ténu, faible, mais amusé. Ma manière de rire dans ce genre de contexte. Je remis bien vite mon casque et entamai une nouvelle promenade, digestive cette fois-ci. Mes pas me menèrent vers un endroit bien plus bruyant que les autres. Je me figeai devant le Sindety Night Fever, non sans ignorer les gens qui entraient dans ce lieu. J'augmentais le son de la chanson espagnole que j'écoutais, pour éviter de me retrouver face à une overdose de sons, donc de couleurs, donc d'informations. Et, donc, face à une migraine potentielle. Mouais. Je préférai largement oublier ce détail-là, j'étais bien après avoir mangé et cela me suffisait. Je m'apprêtai à passer mon chemin lorsqu'une ( ou un ) ( ... une vu son cosplay, disons ) cosplayeuse attira mon attention. Une tenue simple mais dont tous les détails laissaient imaginer de bons talents en couture - ou la connaissance d'une bonne adresse, au choix. D'autant que je ne pouvais décemment ignorer un cosplay de San lorsqu'il était aussi réussi. Sans me poser de questions, je la suivis et m'approchai, juste assez pour pouvoir examiner le travail de sa tenue en long, en large et en travers. Gribouillant sur mon bloc-notes, je lui offris trois phrases d'affilée avant d'arracher la feuille, la poser contre sa gorge en lui laissant le choix de la rattraper ou non, le tout sans m'arrêter. Elle me lança un regard incrédule que je ne vis qu'à peine.

Je passai mon chemin, allai me commande un White Russian et m'éloignai le plus du vacarme des enceintes. Heureusement que mon casque était là et avait une bonne qualité, je pouvais ainsi m'isoler musicalement parlant sans trop de problèmes. Je me concentrai sur la chanson espagnole qui tournait en boucle dans mes oreilles pour éclipser les autres sons et donc les autres couleurs, m'asseyant sans le savoir à côté d'une cosplayeuse blonde au costume qui m'était complètement inconnu. Je ne lui accordai aucun intérêt et étalai mes jambes devant moi tout en faisant tournoyer le liquide dans mon verre avant d'en prendre une gorgée. Hm. Crème fraîche, hein ? Un bon White Russian des familles faisait toujours du bien. J'aurais peut-être dû partir sur un Bloody Mary mais vu le repas italien que je m'étais enfilé, ce n'était pas une très bonne idée. Je fermai les yeux et, concentrée sur la musique, je me détendis tout en restant inexpressive. Je m'insulterai plus tard d'être rentrée ici. Boire de temps en temps ne faisait de mal à personne. Je savais que j'allais très très vite penser autrement mais cela n'avait que très peu d'importance. Comme la personne à côté de moi qui n'avait sûrement pas demandé à avoir une inexpressive silencieuse à ses côtés. Je ricanais mentalement. Chacun ses problèmes. Et si elle avait parlé, il y avait de grandes chances que je ne l'entendisse pas. Ou que je l'entraînasse dehors pour pouvoir l'écouter sans chopper une migraine. Au choix. Je posai mon verre sur une table basse, mis mon bloc-notes dessus et inscrivis un « Bonsoir. » de mon écriture en italique, arabesquiale et étrange selon certains. Disons que j'avais incorporé des lettres grecques dans mon écriture manuscrite, rien qui soit illisible en soi. De mon point de vue.

Bras croisés derrière la tête, ne montrant rien sur mon visage, j'étalai toujours mes jambes devant moi. J'étais la décontraction absolue. Dans trois secondes j'allais insulter les néons bleus en arabe mais pour l'instant j'étais détendue.
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H.R.P:


Dernière édition par Kaylee King le Jeu 16 Aoû 2018 - 23:50, édité 1 fois
Anonymous
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au Sindety Night Fever avec Night Empty
Jeu 16 Aoû 2018 - 23:16
Je me suis dit que se n’étais pas une bonne idée, quoi que au départ , ça semblait être l’idée du siècle, surtout habillée en Lux. Certes j’avais décidé de venir au Sindety night fever, mais pourquoi j’ai fais ca ? Pour trouver une personne, une amie, un ami, l’amour ? Pourquoi pas un plan cul  dans le pire des cas? Je suis comme une conne maintenant, solitaire et en difficulté. Bien entendu tout le monde viens en couples ou en amis… Moi sans surprise, je suis seule, je fais quoi maintenant ? Je me morfond tristement dans mon coin, je tourne le dos a ce horrible néon bleue qui franchement me gache le cosplay !

[color=#005599]-  « Je suis là, autant en profiter non ? »[/colore] Me dis je pour me donner du courage. 


Du courage, il m’en faut ! J’écoute actuellement de la mauvaise musique. Je ne saurais pas dire pourquoi mais elle me faisait penser à lui… Mince, c’est quoi son nom déjà ? Jules… non un truc comme ca… en tout cas sur terre, c’était numéro un du top 50… BRRR L’ENGOISSE le monde part décidément en couille ! Je ne sais pas pourquoi, cette daube infâme me reviens en mémoire...

attention au oreilles !:

J’attendant un miracle qui ne viens pas. Je trempe mes lèvres dans ma bière, pourquoi j’ai pris ça ? Une boisson OFFERTE et je prend ça, qu’elle gourde ! Décidément, la soirée commence mal. Je me contente de scruter les Cosplayer, voir un peu le niveau de mes rivaux. J’y vois de tout. Coté cosplay coup de coeur, il y a Gon de hunter X hunter, Sanji de One piece, Byakuya de Bleach. Pour ma plus grande joie... Il n’y a quasiment que des mecs au niveau des cosplays réussi. Coté femmes je peu noté le fessier de Gally du manga Gunnm et son armure est terrible, Oh et cette femme déguisé en unité Guyver ! Si j’étais un homme j’aurais sûrement… hum pardon. J’ai bien envie de la connaître d’avantage. A peine je me lève décidée à l’aborder, elle pose son casque et embrasse Sanji de one piece. Encore un échec pour Demacia ! Cette fois j’en ai ras le cul, cette soirée est un échec. Toute fois, comme dit le vieille adage, trop bonne, trop conne, je décide d’attendre encore. J’ai un petit traque qui me prend, une boule à l’estomac qui n’en fini pas. Une gorgée de bière et ça va déjà mieux. Je pense que je vais bientôt aller me déhancher même seule c’est pas grave. Je suis Lux bordel de nouille ! Il est hors de question que le bras droit de Demacia s’avoue vaincu aussi facilement. Je tape ma chope à bière sur la table et je ne m’avoue pas vaincu, hors de question que Lux passe pour une looser. Mon inhibiteur se met en branle, je me lève et là. Un couple déguisé en donald et daisy duck, des jeunes mariés j’espère ? Curieuse, je les laisse alors danser, après tout c’était leurs moment privilégier loin de moi l’envie de leurs couper l’effet.

Je suis subjuguée par leurs danse, vraiment terrible. Je me suis dit que finalement, j’attendrais que leurs show se fini. Ils m’intriguent au plus haut point, vraiment, sublime. La Daisy fait une sorte de Twerk pour chauffer le Donald, leurs costumes a beau être dégueulasse le résultat est des plus surprenant ! Serte ils doivent pas savoir que le twerk est dépassé maintenant, c’était qu’une mode stupide, mais toute fois, j’avoue que c’est plaisant à voir. Ils finirent pas se tenir par la main après s’être fait un long câlin. La fin etait grandiose, j’aurai aimer les féliciter, franchement ça ma beaucoup ému.


Finalement, une femme s’assois a mes côtés, elle me bousculait presque, si ma bière etait pleine j’en aurait limite renversée. Se qui me retient de lui lancer une réplique cinglante, c’est qu’elle portait un casque sur les oreilles.

- « mais c’est stupide ! Pourquoi aller dans une boite si c’est pour se fermer au monde et écouter sa propre musique ? n’aurait t’elle pas mieux été chez elle ? Peu être aurait t’elle du au moins se déguiser ? Elle ne profite même pas de la boisson offert… c’est quoi son problème ? »
J’étais sans voix, cette étrangère était sûrement, la femme la plus bizarre que je n’ai jamais vue.

Elle me faisait l’effet… comment dire ? C’était comme si vous vous asseyez dans un Macdonald pour manger un poulet basques. Qu’elle intérêt a t’elle de venir dans un endroit bondé, où on vous offre une conso si vous êtes cosplayer et surtout un endroit avec une ambiance bien à lui si c’était pour s’isoler comme ca ?  Non elle me fais vraiment un effet des plus étranges. Au moins, elle sentait bon, je me surpris d’un plaisir coupable, je penche la tête très légèrement de son coté mais vraiment de rien et je gonfle mes poumons dans l’espoir de capturer son odeur. J’ignore ce qu’étais son parfum ou à qu’elle endroit elle avait traînée avant de venir içi mais ça m’intrigue, c’est un moment délicieux. Peu etre est ce l’ambiance qu’il règne içi ? Bref.

Du coin de l’œil, je l’observe, elle gribouillait quelque chose, c’est une chance pour moi, elle ne ferait sûrement pas attention à moi. Je ne peu m’empêcher, avec la plus grande des discrétions possible de la regarder, non pas par appétit mais par curiosité. Franchement, pourquoi mettre un casque ? Je sais, je fais une fixation dessus mais j’y peu rien !

- « Pis merde... » je cède à la curiosité qui l’emporte.
Elle porte une robe noire, un collier autour du cou, on dirait des perles, difficile a dire avec ses fichues néons. Une écharpe rouge, ou marron ? Décidement on voyait pas grand-chose !  Une belle blonde ! Assurement, elle m’intrigue décidement beaucoup, elle a toute mon attention.

Qu’est ce qu’elle buvait ? c’était un comble, moi qui avait le droit a une conso gratuite je m’offre une bière, et elle, un truc plus élaborer. Je ne sais vraiment pas. Ma bouche s’ouvre pour faire sa connaissance, malheureusement, se referme aussitôt. Qu’elle idée elle a eu de mettre un casque ! Déjà sans écouteurs, faire connaissance ici a cause de la musique très forte était une chose, mais si un appareil te bouche les oreilles, mes chances de me faire une amie frôle le zéro pointé. Je me sens décidément mal se soir, je continue a prendre une gorgée de bière, et me rend compte que je l’ai vidé à moitié.  Se sera l’occasion pour moi de passer à plus fort.

Je fixe mon regard au loin, pour chasser mes mauvaises pensées quand soudain elle barbouille un petit mot et le posa a coté de son verre. Curieuse, j’essaye alors de déchiffrer son écriture. Je ne sais pas si c’était mon état ou quoi j’ai j’eu du mal à lire. C’était probablement moi, je me devais d’être discrète, rien ne dis que le message était pour moi. Oui il était tourné vers moi mais rien ne me dit que..

- « ho et puis merde tu es Lux ou merde ?  Allez lisons, courage ! » Me dis je pour reprendre des forces.

Mes yeux finirent enfin par traduire. « Bonsoir », mon cœur battait vite et fort, je ne sais pas si le message etait pour moi ou si je me faisais des films mais passons. Ayant piquée ma curiosité, j’ai envie d’en savoir plus sur elle ! Je profite du fait qu’elle ai les bras croisés derrière la tête pour lui emprunter le stylo ainsi que son bloc note. Je prend son bonsoir que je met dans ma poche. Un souvenir, est un souvenir. Il vaux mieux un merveilleux mais faux souvenir qu’une réel et déprimante solitude. Je pris une minute pour admirer le stylo, certes il est quelconque mais bon, tout objets même insignifiant mérite amour et respect car dés lors ou l’objet est brisé il est comme décédé. Une fois satisfaite de moi, j’esquisse un petit dessin de lapin avant de me dire que elle me trouverait peu être trop « gamine » du coup je déchire le papier discrètement que je fais glisser sous la table comme si de rien était. Sur la nouvelle feuille vierge j’y inscrit « Bonsoir, je m’appelle …. » et je réfléchi un long moment, j’allais écrire Lux mais c’est malheureusement que mon cosplay, toute fois, pour se soir, je suis Lux. C’est donc naturellement que je laisse Eyden de coté et inscrit « Lux » en me disant que d’écrire Irina était encore plus hors de question. D’ailleurs, plus le temps passe, plus j’oublis mon réel prénom.

Je me rappelle de se temps où tout le monde m’appelaient Irina. Un long frissons parcours mon corps, c’est comme si vous, vous endormiez sur un cauchemars bien trop réel. Jusque là, je suis heureusement la seule à savoir ma réel identité, il est hors de question que l’inconnu l’apprend.
Je médite longuement pour savoir ce que je pouvais bien ajouter sur le papier, j’ai peu l’habitude du courrier. Un sourire illumine mon visage, j’ai l’impression d’être revenue en enfance. Je m’imagine déjà écrire « veux tu sortir avec moi ? Oui / Non » et de lui demander d’entourer la bonne réponse. En même temps dans un bouquant pareil, les choix de communication est assez limité, je le conçois.

- « Rho et puis merde ! » Me dis je avant de barbouiller finalement le lapin que j’avais honteusement dessiner..

Au pire, elle aime pas et se sera fini avant même d’avoir commencer aller zou ! Qu’ai je à perdre ? Je suis seule sans amis, dans une ville que je ne connais pas ! Je n’ai pas d’amoureux ou d’amoureuse. Je n’ai pas de plan cul, pour ainsi dire, la solitude me pese sur le morale. Je regarde longuement mon écrit. Une partie de moi, sûrement Eyden, me hurle dans les oreilles de déchirer se papier et de laisser tomber, une boule dans l’estomac encore. Je la noie dans une grande rasade de bière, je sens alors Eyden se noyer et de disparaître. Se soir je suis Lux, la reine de la déconne et grande protectrice de Demacia ! Finalement, j’ose, je replace le bloc note là ou je l’ai trouvée et pose a coté le stylo, la main un peu tremblante. Je me rend compte combien écrire se simple message est pour moi une douloureuse épreuve.

- « Je ne suis pas assez buerrée ! Et merde ! TU FAIS CHIER EYDEN !!!! » Je maudit ma personnalité de tout les jours empêchant Lux de s’exprimer librement.

Je souffle et regarde a nouveau les gens, je ne sais pas si l’étrangère me voyait ou non, mais un sourire timide était figé sur mes lèvres, j’avais qu’une envie, qu’elle me kidnappe loin de se bruit, loin de cette foule, loin de cette atmosphère bien trop épuisant, a moins qu’elle souhaite danser avec moi ? Mais étais ce son genre de danser ? Je me félicite de ne pas lui avoir demander. Je sens un peu de sueur me couler dans le dos, qu’il fait chaud dans cet endroit de malade ! J’en ai ras le cul, faut que je sors…

Ma main caresse la plaque d’armure sur mon genoux. Je ferme les yeux, c’était qu’une boule d’angoisse, rien de plus. Je reprend ma respiration, bloque cinq secondes, souffle en vidant mes poumons, bloque cinq secondes, et inspire. Ça va déjà mieux. Son odeur m’apaise. Il me faut son secret ! Il faut que j’arrête de penser a ma vie passé a Haguenau, je suis de Sindety maintenant ! Il était temps que j’admet qu’ici les Rogdanov me trouveront jamais, qu’ici, aucun « Philipe » pour trahir mon identité, j’étais libre. Je dois mettre fin a ma dépression. Je suis une nouvelle personne, je devrais plutôt célébrer la mort d’Irina.

Je lève mon verre à une personne fictive

«  NA ZDROVIE IRINA » avant de boire une nouvelle gorgée.
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Ven 17 Aoû 2018 - 12:07
Insanity next to you...Kaylee King & EydenQue la chispa de tu mirada, es un farito pa' mi vajel (Mírame → La Troba Kung-Fú)Je remuai la boisson dans mon verre après en avoir bu une gorgée. À peine avais-je été assise que, déjà, je sentais le regard de la blonde à ma gauche sur moi. Non que j'en eusse quoi que ce fût à faire. Continuant de faire tourbillonner ma boisson d'un mouvement discret et lent de la main gauche, mes doigts se serrèrent soudainement autour de mon verre. Cela me permit de ne pas mettre mon coude dans le visage qui s'était penché vers moi. Si je commençais à réagir au quart de tour, ça n'allait pas le faire... Mon emprise sur le verre se desserra lorsque son visage s'éloigna. Ouais, c'était vraiment pas l'idée du siècle de rentrer ici... Je ricanai mentalement. Au moins, cela me permettait une boisson gratuite – bien que je n'eusse pas été au courant de l'événement expliquant ce fait – et de voir qu'il y avait des choses qui ne changeaient pas, quel que soit le lieu. J'arrêtai net ma réflexion, m'interdisant de la poursuivre. Inexpressive, silencieuse, je focalisai toute mon attention auditive sur la chanson espagnole qui pulsait dans mes oreilles pour éclipser les autres sons et, donc, les autres couleurs. L'ambiance sonore des lieux me fut alors supportable ; pour les néons bleus, c'était une autre histoire. Et pourquoi avoir pris une teinte aussi forte ? Parmi toutes les nuances de bleu, ils en prenaient une criarde ? Je fermai mes paupières à demi. Non. Non, ce n'était pas mon problème. Ils faisaient bien ce qu'ils voulaient. Je plissai les yeux pour contrer l'afflux lumineux et je bus une autre gorgée de ma boisson. Je soupirai inexpressivement pour la énième fois et posai mon verre sur la table, à côté de mon bloc-notes où j'inscrivis un simple mot.

Laissant le stylo sur mon bloc-notes, je pris une position plus détendue, nonchalante. Les néons commençaient déjà à me taper sur le système, je savais qu'il n'était plus qu'une question de minutes avant que je sortisse de cet endroit aussi vite que je n'y étais entrée. Un mouvement me fit sortir de mes pensées et j'observais le manège qui se déroulait sous mes yeux avec amusement – qui ne se voyait pas tant mon inexpression naturelle ne laissait de la place à rien d'autre sur mon visage. Lorsque la blonde s'empara de mon bloc-notes et de mon stylo, je repris mon verre pour en boire une gorgée, un sourire amusé flottant dans mon esprit. Vas-y, piques mon écharpe pendant que tu y es. Et la politesse, putain ? Je ne réagis cependant pas, me contentant de l'observer de mes yeux désintéressés. Lorsqu'elle arracha la page contenant le seul mot que je lui avais adressé, j'arquai légèrement et inexpressivement un sourcil. Je te gêne peut-être ? Je la regardai dessiner un lapin sur une nouvelle feuille... et l'arracher au bloc-notes tout en dépeçant la feuille dont les morceaux se retrouvèrent sous la table. Hm. Le geste était discret donc je supposai que je n'étais pas censée l'avoir vu... mais gâcher aussi aisément du papier, non. Posant mon verre sur la table, je me laissai tomber à genoux sur le sol frais et je ramenai les morceaux de papier vers moi. Je les glissai dans la première poche de mon sac patchworked au septième degré, la refermai, puis je m'assis paisiblement. Je pus alors lire la phrase qui était apparue sur le bloc-notes entre temps. Elle s'appelait Lux ? Hm. Soit. Je ne comptais pas me servir de cette information, de toutes façons. Et je m'en foutais. Bref. Je regardai le nouveau lapin qu'elle avait dessiné et qu'elle était en train de barbouiller. Et tu gaspilles une encre qui ne t'appartient pas, avec ça ? T'es décidément intéressante, toi. Inexpressive, ne montrant rien de mes états d'âme et autres réflexions traversant mon esprit, je repris une gorgée de ma boisson. Je l'enfilai peut-être trop vite mais je savais que je ne craignais rien de ce côté-là. Pas avec un verre, du moins.

Abandonnant ma position détendue tant les néons commençaient sérieusement à m'agacer, un geste retint mon attention. Le bloc-notes et le stylo reprirent leur précédente place mais je ne me penchai pas vers eux, n'ayant pas l'intention de répondre à une phrase qui, selon moi, n'appelait pas de réponse. Cette phrase se contentait juste d'essayer d'ouvrir une conversation que je n'allais certainement pas étayer. 'manquerait plus que je donnasse dans le social, tiens. Et pourquoi pas me reconvertir en psychologue ? Un geste interrompit mes pensées, suivie d'une phrase en russe. Russe... ? Le vacarme des lieux s'empara brusquement de mon ouïe, en même temps que les lignes, ronds, triangles et autres formes colorées se chevauchant dans ma vision. Je me levai, attrapant le poignet de la blonde – celui qui ne tenait pas de verre – et l'entraînais à ma suite sans lui demander son avis. Et, surtout, sans me rendre compte de mon geste. Je finis mon verre en cul sec, le posai au comptoir où je demandais – d'un index bien pointé – un verre d'eau. Je sortis moins de quatre secondes plus tard avec le gobelet en plastique transparent rempli d'eau. Et la blonde. Détail que mon cervau n'enregistra que lorsque je m'arrêtai plus loin, loin du bruit et de cette overdose de couleurs. Je lui jetai alors un long regard inexpressif avant de hausser les épaules. Mhm. Pourquoi pas. Je bus un peu d'eau puis je pris le rebord du gobelet en plastique entre mes dents pour écrire ce que je voulais en toute impunité. Lâchant enfin son poignet, je m'emparai de mon bloc-notes que j'avais glissé sous mon bras – mon stylo était déjà dans ma main gauche. « ... Hm. Réflexe. Pardon. Les néons m'agaçaient. » Je lui donnai mon carnet, faisant tomber mon casque autour de mon cou par la même occasion. Je ne comptais pas lui dire pour ma synesthésie musicale, cette maladie que j'estimais être un don avait quelque chose de personnel, quelque chose que je ne dévoilerais pas aussi facilement au premier venu. Même à ce que je connaissais, d'ailleurs. Et puis, ce que j'avais écrit était une des principales raisons de ma retraite stratégique. Si je l'avais inconsciemment emmenée avec moi, c'était sans doutes pour pas couper court à notre discussion.

Hm...
Pourquoi pas.

Je fermais les yeux, buvant deux longues gorgées d'eau tout en profitant du silence et du casque qui ne me compressait plus le crâne. J'aurais dû peut-être sortir mes écouteurs... mais cela aurait créé un méli-mélo inutile de câbles. Je soupirai inexpressivement. Ces pensées étaient inutiles, elles dégageaient illico prestimo. Je tendis le quart d'eau qui restait à la blonde. Parce que... pourquoi pas ?
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Mer 29 Aoû 2018 - 2:15
Durant tout le temps que j’ai passé à écrire sur ses papiers, pour tout dire, je ne me sentais pas trop à l’aise, pourquoi j’ai décidé de jouer son jeu ? Je ne pense pas qu’elle m’en veuille que j’utilise son papier sans rien ne lui demander, sans complexe, sans état d’âme. Aprés tout elle ne me l’avait mis sous mon nez. Pourquoi devrais je me sentir gênée ? Je ne me sentais vraiment pas bien. A la fois anxieuse, un soupçon d’envie de rentrée, une pincée de crainte de l’inconnue. Je réfléchi longuement à ce que je devrais écrire, la phrase d’accroche serait forcement la plus importante ! Finalement je me félicite de ce que j’avais ecrit, sobre directe, pas de chichi.

Je l’ai surprise par quelques caresses par inadvertance, sûrement, avec ses pieds, elle semblait ramasser quelque chose, je n’ai pas trop fait attention à quoi, mais ça suffit a mon esprit pour imaginer mille et une douceur, était ce par mégarde ? Étais ce volontaire ? Le mieux que j’avais à faire c’était de ne pas y prêter attention. Toute fois, durant quelques instants, je me sentais tellement moins seule, le temps d’un battement de cil, j’avais eu le sentiment d’être en couple. Cherchez pas, moi et mon esprit… Je souffle de dépit, me voila projetée avec férocité et cruauté dans la dur réalité. Seule, abominablement seule. Qu’ ai je fais au seigneur pour mériter pareil solitude ?

Mes lèvres sautèrent sur ma bière, intimement froide maintenant, l’amertume y était d’avantage présent, elle avait un sale goût mais au moins, ça suffit à me changer les idées. Je scrute avec la plus grande discrétion ça réaction en lisant mon papier. Je n’ai pas réussi a déchiffrer, etais ce du déni ? Du dégoût ? Sa micro expression était indéchiffrable dans pareil endroit, les néons avait tendance à effacer une grande partie du visage des gens les peignant en bleu et noir. D’ailleurs je n’ai jamais compris pourquoi des néons bleue ? c’etait extrêmement beau mais dans pareil éclairage, je ne sais pas pour vous, mais moi ça m’endors. Etant une éternelle défaitiste, je ne me voyais pas l’avoir dans ma poche et sûrement pas avec un dessin de lapin… Elle doit me prendre pour une gamine, pourquoi ai je dessiner ça ? qu’elle idiote… Pour couronner le tout, elle ne poursuit pas le jeu. J’ai du merder une fois de plus, mais où ? J’aurais crus qu’elle m’aurait répondu c’est dans la logique des choses. Personnellement, je ne vois pas où j’aurai pus faire une erreur. Qu’elle interet de commencer un jeu dans le but d’établir une conversation entre adulte de facon ludique et amusante si c’est pour l’arréter avant même qu’il ai réellement commencer ? J’aurai peu etre pas du tapoter mes levres avec son stylo. Qu’importe, maintenant le mal est fait !

« C’est décidé je me tire ailleur comme on dit dans l’infanterie. »

Je m’imagine dans league of legend, la camera se braquer sur notre nexus avec l’horrible son d’explosion et l’écran devenir rouge avec écrit en énorme « DEFAITE ».

C’est la que tout à dérappé pour ma plus grande joie. Je sens mon poignet être saisis sans ménagement. Elle ma alors, de force, me faire me lever. Voulait t’elle une danse ? Je rougis a cette idée, elle avait une sacrée poigne, je me sens menottée a elle.
Spoiler:
Elle m’entreine vers la piste, je me sens heureuse, ma bière à la main, je me rend compte que je n’ai même pas eu le temps de la poser ni de la finir. Qu’a t’elle en tête au juste ? J’ai le coeur qui bas à une vitesse folle. Folle de joie je me laisse portée par cette tigresse qui s’est saisit de moi mais contre toute attente, elle prit un virage sérré nous éloignant de la piste. Sans me lacher un seul instant, elle me garde attachée a elle désignant le barman d’un geste et lui commanda un verre. Pour ma part, trop intimidée je n’osais rien commandée, les joues en feu, mon cerveau était comme éteint. Je n’arrivais pas a penser à quoi que se sois.

On s’éloigna enfin de la boite, apparement, tout comme moi, elle en avait vraiment marre de se son, je n’etais pas la seule à trouver cet endroit vraiment mauvais. elle me dévisage du regard, je me sens comme un chwingum d’un vert éclatant qui attire le regard dans les premiers instants avant de finalement ce dire « mouais c’est qu’un chwingum ». J’attendais, en silence, ce qu’elle comptait faire de moi, je n’osais pas le moindre geste, ni la moindre parole j’attends docilement. Un mal de crâne commenca a pointer son nez. Il parrait que c’est naturel quand on quitte un endroit bruyant, les oreilles semblent alors comme sensible au silence. Ca y est, je me sens sourire, je patiente physiquement, mais dans mon coeur c’est une toute autre paire de manche.

Finalement, elle se saisit de son gobelet entre les dents, j’aurais pu le lui porter mais bon passons. Elle écrit alors sur son petit calepin. « ... Hm. Réflexe. Pardon. Les néons m'agaçaient. » Comment lui dire que ça ne ma génée en rien, que j’y ai même pris un peu de plaisir, trop peu etre. Ce qu’on appelle, le plaisir coupable. Je me suis contentée de la saluer de la tête avec un très grand sourire pour lui signaler que tout va bien. Je n’ai pas osée lui prendre le carnet vue qu’elle ne me la pas proposée.

Je constate, que ni moi, ni elle, n’osons briser le silence. Je la regarde un peu génée, elle me tend son verre. Je serais idiote de ne pas céder, la bière bizzarement, me donne soif j’ai encore ce goût de cuivre en bouche qu’on les mauvaises bières. Du coup, je tourne le gobelet et je le met en bouche buvant le reste en prenant mon temps. Je remplis mes poumons d’air me rendant compte combien ça puait dans la boite, j’en avais grand besoin de cet air frais.

Une question reste en suspens. Que faire avec elle ? j’ose tout simplement, briser le silence aprés avoir mis le gobelet dans ma poche, ne voyant pas de poubelle.

Qu’aimerais tu faire ? Heuuu…. Comment tu t’appelles déjà ? On peu aller dans un endroit plus calme ?. Je sais qu’elle ne me la jamais dit mais bon je serrai les dents, voila que je recommencais a bombarder quelqu’un de mille et une questions sans lui laisser le temps de répondre. Je pris sur moi donc de garder le silence et de lui laisser tout le temps pour répondre. De plus, me voila à m’imposer, j’espere qu’elle ne le prendra pas mal, je n’ai juste pas envie d’être seule se soir.
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Dim 9 Sep 2018 - 18:59
Insanity next to you...Eyden & Kaylee KingQue la chispa de tu mirada, es un farito pa' mi vajel (Mírame → La Troba Kung-Fú)Je la regardai incliner la tête à mes mots, pour m’excuser sans doutes, tout en me montrant son large sourire. Trop lumineux comme sourire, trop lumineux. Bienvenu en un sens mais… wow. Trop lumineux. La vache que la blonde est expressive. Mon inexpression ne changea évidemment pas d’un iota, bien que je ne pus m’empêcher de sourire mentalement. Un léger bourdonnement dans le crâne, je finis par m’exhorter de ne plus jamais boire une moitié de White Russian en un cul sec. Enfin, c’était largement supportable vu que j’avais eu la bonne idée de boire de l’eau et que mon verre alcoolisée avait été bien dosé – donc servi à moitié plein. Ouais, en fait j’en avais rien à foutre. La pensée dégageait, donc. Le silence s’installait et je lui tendis l’eau qui restait dans mon gobelet pour… bah, je ne savais toujours pas pourquoi et au fond peu m’importait. Mon geste avait été spontané, de toutes façons, autant en rester là ; réfléchir au pourquoi du comment d’un acte spontané était stupide. Et j’avais la flemme, surtout. Pour me vider l’esprit, je l’observai tourner le gobelet de mes yeux inexpressifs en la laissant boire du côté où je n’avais pas bu. Cette précaution m’amusa et, bien que mon inexpression n’en montra rien, je penchai lentement ma tête sur le côté. Le silence et la fraîcheur du dehors m’arrachèrent à mon observation et je respirai profondément – et silencieusement, j’avais intériorisé ma respiration au préalable. Je clignai des paupières par moments ; même après quelques minutes, ma vue était toujours perturbée par les néons de la boîte de nuit. Ils étaient violents, fallait se l’avouer. Il me fallut une large minute de plus avant de cesser de cligner toutes les cinq secondes des yeux en papillonnant des paupières. J’avais vraiment déconné, quelle idée d’aller dans ces boîtes infernales… Boarf, une fois de temps en temps n’allait pas me tuer. Au moins j’avais eu un White Russian gratis. Quoique, vu la notion d’argent des l-… Je détruisis ma réflexion, avant même de la finir, et passai aussitôt à autre chose. Je n’avais pas envie de m’attarder sur ce point. Je remarquai alors qu’elle commençait à enfouir le gobelet dans sa poche et je m’approchai pour le lui reprendre d’un geste d’une douceur contrastant avec mon inexpression impénétrable. Je ne me reculai pas après m’être rapprochée, pour la simple et bonne raison que j’avais la flemme de me reculer, et je fis jouer le gobelet entre mes doigts pour me distraire de mes réflexions inutiles. Sa voix, d’un beau vert d’eau foncé, marécageux presque, bazarda une flopée de questions et j’arquai un sourcil inexpressif. Bah dites donc, ça c’était du monologue…

Je reculai de quelques pas pour pouvoir écrire en toute impunité – j’aimais décidément cette expression – et je tournai bien vite mon carnet dans sa direction. Cinq secondes tout au plus. Je n’avais que peu écrit, après tout. « Kay. … Où veux-tu aller ? » Je ne savais pas du tout où al-… Mes doigts se crispèrent sur mon gobelet quand je vis plus que je n’entendis une démarche en approche et je boisai instinctivement mes yeux inexpressifs vers l’origine du bruit. Un badaud. Un crétin. Ivre, à en juger les rougeurs de son visage. Je plissai les yeux en le voyant s’approcher de nous et me mis à le fusiller de mes yeux brusquement assassins quand il était évident qu’il s’apprêtait à interrompre notre conversation entrecoupée de silences. Ivre ou essoufflé, au choix. Dans les deux cas, s’il me parlait j’allais gentiment lui faire comprendre de dégager. En lui balançant mon carnet à la gueule si le geste s’avérait nécessaire. Quand il s’apprêta à parler, j’arquai un sourcil. J’étais vraiment pas loin, à deux doigts voire moins, de l’envoyer péter mais il poursuivit son chemin et alla parla à ses acolytes – trois –, qui allèrent tous ensemble au Sindety Night Fever. Hm. I’m watching you, guys. Je les suivis du coin de mes yeux, prête à réagir au quart de tour au cas où. Quoi, paranoïaque ? Ben voyons. … peut-être un peu mais les habitudes avaient la vie dure. Je vis l’un d’entre eux s’arrêter et nous jeter un regard lubrique. Voyant qu’il n’était pas décidé à s’en aller et que la pointe de ses pieds commençaient à s’orienter vers nous, j’écrivais rapidement sur mon carnet un « Tu permets ? ». En moins d’une seconde, mon carnet s’orientait déjà vers elle. Je n’attendis pas tellement sa réponse, voyant que l’homme – pas le même que tantôt – se rapprochait. Glissant une de mes mains vers l’arrière de sa tête – celle de Lux, évidemment –, je posai puis moulai mes lèvres contre les siennes en un baiser chaste, doux, mais qui pouvait paraître passionné d’un point de vue extérieur. Quand je me reculai, je vis du coin de l’oeil les quatre hommes disparaissant dans la boîte de nuit. Hm. Tant mieux. Mon regard inexpressif, lui, était ancré dans celui de Lux et je redressai ma tête, sourcil arqué. Bon chérie, si tu veux qu’on reste planté ici dis-le clairement.
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