les présentations supprimées

Couleur de cheveux/yeux : cheveux noirs et yeux foncés.
État de santé :  daltonisme, allergie aux pollens et aux poils des chats. il ne court pas, ne fait pas d'efforts et se plaint déjà de devoir marcher : peu sportif.
Style vestimentaire : se la joue décontracté.
Inventaires : des cigarettes, du feu, des papiers avec des numéros de donzelles (pour pouvoir s'en vanter), de la monnaie, des billets froissés.
Langues parlées : allemand et anglais. (bases de salutation en néerlandais et français scolaire)
Hobbies : traficoter les boîtes aux lettres des habitants pour lire leur courrier, chasser l'ennui en parlant à tout ce qui bouge, chercher à semer la discorde pour enfin se divertir. faire du foot, c'est peut-être son seul effort physique.
Personnalités : insouciant ☉ ne supporte pas qu'on lui mette la réalité dans la face ☉ s'ennuie vite ☉ "je suis pas homophobe j'ai un ami gay" ☉ extraverti ☉ jaloux ☉ sourire facile ☉ cruel ☉ égocentrique ☉ adore se plaindre ☉ mais pas trop pour pas vous faire fuir ☉ triste sire ! ☉ encore plus qu'adorer chouiner, il kiffe quand vous le plaignez lui ☉ parle fort ☉ fuyard ☉ crevard ☉ bons instincts de survie ☉ sauf s'il est question de son honneur voyons ☉ déteste qu'on se plaigne ☉ vous le fera comprendre ☉ adore en savoir plus sur votre culture ☉ mais croyez pas, si vous êtes de genre féminin votre parole aura moins de valeur ☉ à l'écoute ☉ bon vivant ☉ problématique ☉ TRÈS problématique ☉ "roh on peut plus rire de rien !" ☉ "la transidentité et la dysphorie c'est juste pour faire son intéressant" ☉ commère ☉ vous dira rarement les choses en face ☉ et s'il le fait c'est avec beaucoup de dédain ☉ exécrablement bon parleur ☉ cultivé ☉ peu pédant, étrangement.

Son passé
il ne faut pas pleurer ces garçons phallocrates qui ne voient qu'en camaïeu- leur vie sans courroux est un long fleuve tranquille.
c'est bien facile de prétendre à la réussite quand le cours d'eau qui nous y mène est tendre comme une mère et que l'eau de la misère dépasse à peine nos chevilles. les mains attrapées par celles des parents aimants et les sourires bienfaisants, oh non ça jamais ils sont mauvais ! leurs risettes, dans ces foyers là,  ne sont pas édentées par la difficulté.
ces enfants là prétendent connaître le monde sans n'être jamais allé plus loin de leurs jolis quartiers pavillonnaires- s'ils s'aventurent dans les banlieues c'est un honteux safari : une découverte d'un monde sauvage qui leur semble bien décousu.
cela toujours derrière leurs lunettes teintées d'arrogance, bien entendu.
ils portent les vêtements de ces friperies pour se donner un style, se récompensent d'avoir fait les affaires que plus méritants qu'eux auraient pu faire.
les mioches dont nous parlons ne connaissent pas la loi et la peur, la règle du plus fort leur est encore bien abstraite : s'ils tombent, si on tente de les pousser, il y'aura toujours un élastique doré autour de leur taille.
ils n'ont pas à craindre l'échec (puisqu'il y'aura toujours les écoles privées) ils n'ont pas à craindre le rejet (puisqu'il y'aura toujours des gens pour les aimer) ils n'ont à craindre ni rien ni personne.
ce sont les esprits apaisés qui ne se rendent pas compte à quel point c'est doux d'être encore gais, innocents et sans cœur.

Son avis sur le Fil Rouge
parfait au coeur corrompu : il serait bien heureux de tomber sur une jolie donzelle avec la bouche en coeur. toutefois ses pas sont indécis sur ce fil tendu au-dessus du vide- si la personne qui lui est destinée ne lui plaît pas il n'hésitera pas à sauter parmi les imparfaits, tout en bas de la colline.
pour un hippolyte à qui la vie a toujours souri- il serait bien triste de tomber sur une misère erreur source de discorde.

Ses projets pour l'avenir
ses projets sont aussi incertains et insouciants que lui, il se laisse porter par un flot sans difficulté : il saisit ce qu'o lui donne pour construire ce futur.